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Si la personne est malade, nous ne soignons pas la maladie; il y a des médecins pour cela, mais nous recherchons la cause et nous faisons notre maximum pour l'aider à retrouver le bon équilibre!

Questions - Réponses :

TS : A quel âge ça s'attrape ?

Consultnaturopathe.com: Bonjour, la ménopause ne s'attrape pas, c'est simplement un changement naturel du corps chez la femme au alentour de l'âge de 50 ans. Avant il y a la pré ménopause qui elle peut se mettre en place 10 ans avant suivant les circonstances.

SD : J'ai de plus en plus de Bouffées de chaleur, pourquoi et quoi faire ?

Consultnaturopathe.com: Bonjour, les bouffées de chaleur sont surtout présent la nuit, le nombre peut varier de 10 à… 50 fois en 24 heures. Elles peuvent durer de quelques secondes à plus d’un quart d’heure.

Celles-ci peuvent s’accompagner de palpitations, sensation de panique ou de suffocation, de maux de tête, voire des crampes des membres inférieurs.

3 femmes sur 4 sont concernées et 1 sur 2 subira ce désagrément entre 5 et 8 ou 10 ans ! Quelques septuagénaires souffrent encore de ces phénomènes…

Elles commencent souvent par une sensation de pression du crâne et du cou, puis de la poitrine, comme un début de céphalée, puis les sueurs surviennent durant quelques trop longues minutes. Des tremblements et / ou des frissons peuvent suivre le malaise.

Si des palpitations ou de l’anxiété accompagnent la bouffée de chaleur, on comprend l’importance de la nuisance que reflète cette période redoutée par bien des femmes.

Les déclencheurs sont souvent le stress, les émotions, les variations de température du lieu de vie, les espaces confinés, la pollution, la prise de café, de tabac ou d’alcool, sodas, sucre blanc, sucreries, affaiblissement du foie et des reins, manque d’activité physique…

Tentatives périodiques d’élimination de ces indésirables par les glandes cutanées.

Solutions:

Transpirer volontairement pour moins transpirer involontairement :

La clé d’excellence demeure de provoquer régulièrement une sudation volontaire. Le sauna (chaleur sèche) ou le hammam (chaleur humide) pourront faire de petits miracles : la transpiration obtenue ainsi dans la journée (après-midi de préférence) « dérivera » en quelque sorte les suées nocturnes dont souffre la femme…

Un traitement avec de l’eau est souvent proposé par nombre de nos confrères : pour réduire les bouffées de chaleur, buvez au minimum 8 verres d’eau pure par jour. L’hydratation de votre corps est le meilleur moyen pour lutter contre ces symptômes qui font souffrir beaucoup de femmes. Il s’agit bien ici d’eau pure filtré et non d’eau en bouteille, eau aromatisée, tisane, thé, jus, sodas, bière ou autres boissons aqueuses. Nous contacter pour plus d'informations à ce sujet.

Nous vous conseillons vivement de prendre des compléments alimentaires, voir le kit Ménopause.


EG : Peut-on éviter les signes indésirables?

Consultnaturopathe.com: Bonjour, éviter les signes de la ménopause, Non. Par contre surfer sur les signes, Oui !

C'est à dire, le plus tôt que vous arriver à gérer, au mieux l'air que vous respirez, l'eau que vous buvez, ce que vous mangez et que vous pratiquiez des activités physiques. Moins vous aurez d'effets indésirables. Par contre la ménopause en soit, on ne pourra pas y échapper, par ce que c'est simplement une transformation de son corps comme le stade de la puberté.

Nous vous conseillons vivement de vérifier votre "capital vitalité" en prenant rendez-vous.


NE : Que pensez-vous des compléments alimentaires?

Consultnaturopathe.com: Bonjour, Oui, nous préconisons fortement les compléments alimentaires, par contre, attention à la qualité! Vous trouvez de tout et n'importe où! Nous avons sélectionner un fournisseur avec lequel nous travaillons depuis plus de 10 ans, et il existe depuis 1934 qui respecte la nature:

  • Il pratique sa propre agriculture durable.

  • Au lieu d'utiliser des pesticides, herbicides ou fertilisants chimiques nocifs, nous laissons faire la nature.

  • Les huit décennies de techniques d'agriculture durable ont fait intégralement partie du développement de produits de qualités.

  • L'équipe a amélioré la pratique « depuis la graine jusqu'au complément » pour préserver la puissance et maximiser la consistance, l'efficacité et la sécurité des compléments alimentaires.


Plusieurs compléments alimentaires peuvent se révéler précieux au moment de la ménopause. Ils s’inscrivent alors dans une prévention globale (meilleur équilibre nutritionnel, nerveux, protection santé cardiaque, oculaire…), primaire (éviter une maladie) ou secondaire voire tertiaire (éviter qu’une maladie s’aggrave / éviter que les conséquences de cette maladie s’amplifient). Cette notion de prévention est appuyée par les autorités qui incitent à prendre en main notre santé. La ménopause est un excellent moment pour prendre conscience de tout cela, l'idéal c'est le plus tôt possible!

Et puis, au-delà de la prévention, certains compléments alimentaires sont aussi parfaitement capables d’aider à retrouver de plus beaux cheveux, de mieux digérer, de se détendre plus profondément, de mieux dormir… Pourquoi s’en priver ? Les compléments alimentaires peuvent se présenter sous forme de plantes, vitamines (A, C, D, E, K, B9, B6…), minéraux (calcium, magnésium, fer, chrome, iode…), oméga 3 et autres acides gras, antioxydants (lycopène, bêta-carotène…), acides aminés (tyrosine…).


BP : Pourquoi le sport est si important?

Consultnaturopathe.com: Bonjour, voici 20 raisons d'avoir une activité physique régulière :

1.Réduire la fonte musculaire, maintenir ses muscles en état de fonctionnement – notamment les muscles cardiaques (le cœur est un muscle !) et respiratoires, et ceux pour une posture droite et une allure élancée, « jeune ».

2.Contrôler son poids.

3.Perdre son ventre.

4.Garder une jolie silhouette active, élancée.

5.Travailler son équilibre. Indispensable pour éviter les chutes, parfois dramatiques !

6.Conserver souplesse, articulations « huilées » et tendons en état optimal de fonctionnement.

7.Se garantir un bon confort de déplacement et une autonomie sur le long terme.

8.Réduire jusqu’à 30 % le risque de développer un cancer du sein.

9.Diminuer l’anxiété.

10.Renforcer sa ceinture abdominale, donc soutenir les fonctions digestives.

11.Éviter les maux de dos.

12.Renforcer son squelette, réduire le risque d’ostéoporose – à 70 ans, 4 heures de marche par semaine = 50 % de fractures du col du fémur en moins.

13.Conserver une vie sociale si activité de groupe – aquagym, marche nordique, danse… Se faire des amis sur un socle commun – possibilité d’organiser des week-ends, des vacances ensemble…

14.Fabriquer des endorphines (molécules antidouleur) et des hormones du bonheur, de la sérénité, de la récompense, de la motivation, de l’allant, qui accroissent la confiance en soi, l’estime de soi, liftent le moral.

15.Mieux dormir.

16.Protéger son cœur (infarctus) et son cerveau (accident vasculaire cérébral).

17.Garder un esprit alerte, curieux, ouvert ; apprendre, calculer, mémoriser, raisonner.

18.Réduire les bouffées de chaleur.

19.Freiner l’apparition de maladies neurodégénératives (Alzheimer…).

20.Diminuer les douleurs (tout type).


LR : On nous parle souvent de perturbateurs endocriniens, pour quelle raisons ?

Consultnaturopathe.com: Bonjour, effectivement je vous conseille d'éliminer tout ceci de la maison :

Les perturbateurs hormonaux ne sont pas seulement redoutables pour la fertilité. Ce sont aussi, comme leur nom l’indique très clairement, des perturbateurs hormonaux à tout âge. Ils avanceraient celui de la ménopause (4 à 10 ans plus tôt à cause d’eux) et seraient impliqués dans divers problèmes de thyroïde, maladies cardiaques et même ostéoporose. Voici ici les bons gestes à adopter pour limiter leur emprise néfaste, bien en amont de l’âge de la ménopause. Le plus tôt possible en réalité ! Les chercheurs pointent spécialement du doigt, pour le thème qui nous occupe :

•les parabènes : conservateurs dans les aliments et les cosmétiques. Entre autres additifs alimentaires de E 214 à E 219, habituellement classés parmi les molécules cancérigènes mais leur mode d’action est de type « perturbateurs endocriniens ». Méfiance tout spécialement envers les propylparaben, butylparaben, isobutylparabène.

•7 phtalates : des additifs ajoutés aux plastiques. Ils sont considérés à la fois comme cancérigènes et perturbateurs endocriniens (le DEHP, le BBP, le DIPP, le DIBP, le DMEP, le DNPP et le DBP). Ils sont partout dans les emballages alimentaires, les jouets…

•et aussi 4 pesticides et 9 PCB.

Inutile de faire 7 ans d’études de chimie pour décrypter ces agresseurs sous toutes les coutures, il est préférable de connaître les bons réflexes pour ne pas avoir affaire à eux au quotidien ! Voici principalement ce qu’il vaut mieux faire (et éviter) :

Oui

Mangez bio, ou faites pousser vous-même vos végétaux (pas de pesticides).

Évitez au maximum le plastique, surtout mou, souple : flacons cosmétiques, détergents, jouets, emballages (alimentaires, de bricolage, de jardinage, de vêtements, de décoration…), sex toys, papillotes en cuisine, gourdes souples.

En cuisine, utilisez des récipients en verre, porcelaine, acier inoxydable. Ne faites jamais cuire d’aliments dans une poêle en téflon abîmée/rayée.

Ne multipliez pas les produits ménagers et ne passez pas votre temps à nettoyer avec. Ils relarguent dans l’air des molécules plus que douteuses. Passez au vinaigre blanc, jus de citron et savon noir (et autres ingrédients traditionnels) pour votre ménage simple au quotidien.

Dans la salle de bains, réduisez au minimum le nombre de produits, et optez pour les plus simples et les plus naturels : savon, argile, huile végétale, gel lavant neutre, huiles essentielles, hydrolats (eaux florales)…

Non

Ne faites pas cuire vos plats préparés industriels directement dans leur barquette, au micro-ondes.

Ne buvez pas de l’eau en bouteille plastique (et toute autre boisson en bouteille plastique).

N’utilisez pas les cosmétiques classiques en général – rouge à lèvres, fond de teint, vernis… dès qu’il y a une teinte fixée, il y a des phtalates (potentiellement).

Ne consommez pas de produits alimentaires ultra-transformés (soupes en sachets, charcuteries bas de gamme, plats préparés bas de gamme, longues listes d’additifs sur n’importe quel produit, confiseries, pâtes à tarte, biscuits apéritifs…).

Ne portez pas des vêtements neufs sans les laver. Se glisser dans des draps neufs sans les laver, etc.

Pour des conseils personnalisés, n'hésitez pas à prendre rendez-vous.


CD : Je remarque une Baisse de Libido...

Consultnaturopathe.com: Bonjour, rien d’étonnant à ce que la libido baisse à la ménopause, même si chez certaines femmes elle reste très élevée ! Les hormones de la reproduction ne sont plus là, et il faut reconnaître qu’elles jouaient pas mal en la faveur de la libido. Mais il y a d’autres raisons : fatigue, lassitude, petites douleurs, bouffées de chaleur, impression de ne plus être sexy au fil des années, c’est tout un contexte physique, mental et psychologique qui peut se liguer.

•Reposez-vous, déstressez-vous. Aucune libido possible avec un stressomètre au maximum et des nuits entrecoupées de pauses-pipi ou de stratégies antironflement à destination du conjoint. C’est encore pire si vous êtes déprimée : traitez votre blues, la libido suivra.

•Conservez une activité physique suffisante au quotidien. Mieux, pratiquez un sport une à trois fois par semaine. Bouger provoque le goût de bouger (cercle vertueux) et déclenche la sécrétion d’hormones euphorisantes propices au sexe, mais en plus, c’est une excellente manière d’entretenir son corps et d’en être fière. Plus facile de se lancer dans une soirée de charme en étant sûre de soi plutôt qu’en cherchant à tout prix à dissimuler ses bourrelets…

•Utilisez un lubrifiant « spécial intimité ». Souvent, cela suffit à accroître le désir et le plaisir de quelques points.

•Chaque jour, pratiquez l’exercice de Kegel. La gym du périnée, pour contrôler l’ensemble de son plancher pelvien. Le but : maîtriser totalement sa vessie (adieu petites fuites intempestives) et muscler ses organes internes pour plus de plaisir. Aussi bien pour vous que pour votre partenaire. Ça vaut vraiment le coup ! Le principe : dès que possible, contractez puis relâchez vos muscles intimes, exactement comme si vous bloquiez le jet en faisant pipi.

•Sortez, intéressez-vous aux autres, quittez votre train-train. Rien de plus morose et tue-l’amour que la routine. Il faut une étincelle, des informations nouvelles, ne serait-ce que d’aller essayer un nouveau restaurant ou de sortir dans un endroit différent. Le piment passe aussi par là !

•Conservez un rapprochement physique avec votre partenaire. Câlins, baisers, massages, peu importe, du moment que vous ne perdez pas le contact. Il est plus difficile de renouer quand on s’est trop éloignés.

•Certains traitements médicaux siphonnent littéralement la libido. C’est le cas de nombreux antidépresseurs, des bêtabloquants et d’autres médicaments au long cours. Parlez-en à votre médecin pour essayer de trouver une solution ensemble.


BK : Je commence à avoir des fragilité au niveau cardiaque, que faire?

Consultnaturopathe.com: Bonjour, la ménopause fragilise le cœur, jusque-là protégé par les œstrogènes. Maintenant qu’ils ne sont plus là, la tension artérielle grimpe, les parois des vaisseaux sanguins sont moins souples et les risques de caillots, blocages, embolies, s’élèvent. C’est-à-dire les risques d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral (AVC).

•La base reste l’exercice physique. Rappel : le cœur est un muscle. S’il ne travaille pas, il « fond » tout simplement. Marche au quotidien pour l’entretien (cœur, vaisseaux sanguins), sport un peu plus intensif pour le maintenir en forme, c’est simple et très efficace.

•L’assiette est le second pilier d’une bonne santé cardiaque. Le choix des « bonnes protéines », des « bonnes graisses », de peu de sucre et de sel est excessivement important.

•Contrôler son stress est le troisième pilier. Gérez votre anxiété en la prenant au sérieux. En effet, le stress stimule l’amygdale, une partie du cerveau liée à la peur, et augmente ainsi directement le risque de crise cardiaque. Un gros stress peut faire « mourir de peur » (arrêt cardiaque), c’est connu. Mais une anxiété chronique, même faible, est extrêmement délétère car stress chronique = surcroît chronique d’activité médullaire (moelle osseuse), d’inflammation artérielle et, au total, augmentation majeure du risque cardiaque.

• A savoir : l’inflammation peut provoquer des occlusions vasculaires (des blocages, des « bouchons » dans les vaisseaux) et cette interruption de la circulation sanguine vers le cœur, avoir des conséquences graves. Plus on stresse, plus l’amygdale est stimulée, plus on souffre d’inflammations, plus on risque le pépin cardiaque. Pour contrer cela, tous les moyens sont bons : sport, art-thérapie, musique (écouter, jouer), détente, lecture, jeux, méditation, yoga, balades dans la nature… tout ce que vous voulez, mais ne restez pas les bras ballants à subir. Non seulement il n’y a aucune raison de se laisser envahir par le mal-être, mais en outre cet état est mortel.

il est important de consulter.



Nous partons sur le principe, que si l'être humain remplit toutes les conditions favorables, (son environnement, son alimentation, l'entretien de son corps et de son esprit) il a tout le potentiel pour être en bonne santé !