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À compter du 1er janvier 2023, une surveillance de la qualité de l’air intérieur sera obligatoire au sein des Etablissements recevant du public sensible (ERP), ce qui place les EHPAD au cœur de cette réglementation. Les polluants qui devront être mesurés sont : le formaldéhyde, le benzène et le dioxyde de carbone (CO2).
Les résidents seniors sont particulièrement sensibles à la qualité de l’air qu’ils respirent, ce sont même les principales victimes de la pollution atmosphérique. C’est pourquoi il est fondamental d’y accorder une attention particulière afin de préserver leur santé et celle des professionnels qui travaillent à leurs côtés.
Vos problématiques métiers :
Irritations
Infections respiratoires
Allergies respiratoires
L’étude GERIE, réalisée dans une cinquantaine de maisons de retraite réparties dans 7 pays d’Europe *, montre que l’air intérieur de ces établissements a un effet délétère sur les capacités respiratoires des résidents seniors, même lorsque les normes européennes de concentration en polluants atmosphériques sont respectées. Il est donc essentiel d’agir pour la qualité de l’air intérieur des établissements recevant des personnes seniors, en réduisant la quantité de polluants présents dans l’air ambiant.
Particules fines
Odeurs tenaces
COV
Bactéries, virus, micro-organismes
* France, Suède, Grèce, Danemark, Belgique, Pologne, Italie. Étude financée par l’Union européenne.